
Initiative populaire VTT - Libre droit de passage
28.04.25 09:19 12025-04-28T09:19:00+02:00Text: NoMan (Traduit par l'IA)Photos: Erwin HaidenSortez vos stylos ou votre ID Autriche ! La semaine dernière, une initiative citoyenne a été lancée pour l'ouverture des routes forestières et des chemins forestiers adaptés au VTT.28.04.25 09:19 1272025-04-28T09:19:00+02:00Initiative populaire VTT - Libre droit de passage
28.04.25 09:19 1272025-04-28T09:19:00+02:00 NoMan (Traduit par l'IA) Erwin HaidenSortez vos stylos ou votre ID Autriche ! La semaine dernière, une initiative citoyenne a été lancée pour l'ouverture des routes forestières et des chemins forestiers adaptés au VTT.28.04.25 09:19 1272025-04-28T09:19:00+02:00Gerald Simon l’a encore fait. Il a emprunté les voies officielles de participation citoyenne disponibles dans notre pays pour provoquer une modification législative dans son intérêt et probablement dans celui de tous les cyclistes. Depuis le 22 avril, la procédure dite d’introduction est en cours pour son référendum intitulé « Liberté d’accès pour le VTT ».
Avec un ami non nommé, il a déposé la demande le 9 avril, demandant une nouvelle réglementation légale permettant le cyclisme sur les chemins forestiers utilisés ou suffisamment larges, avec des vélos adaptés (VTT), sans l’accord des propriétaires fonciers, et en donnant la priorité aux piétons. Actuellement, la très débattue section 33 de la Loi forestière de 1975 autorise l’accès à pied aux forêts, mais pas leur traversée à vélo sans l’accord des propriétaires ou des gestionnaires des routes.
Signer, partager
Quiconque souhaite soutenir cette initiative peut le faire très facilement en ligne via oesterreich.gv.at avec ID Austria. Ou, alternativement, se rendre dans n'importe quel bureau municipal (dans les villes statutaires : magistrat ; à Vienne : bureau municipal de district) en Autriche pour signer personnellement.
Dès maintenant, les initiateurs disposent d'un délai de 1,5 an pour recueillir les 8 969 déclarations de soutien nécessaires au minimum pour la tenue d'une initiative populaire, ce qui correspond à un millième de la population totale autrichienne. S'ils y parviennent, ils pourront ensuite décider eux-mêmes du moment précis de la demande d'introduction. Si celle-ci est acceptée, le ministère fédéral fixera alors la période d'inscription de huit jours, durant laquelle l'initiative populaire pourra effectivement être signée.
Et ici encore, la règle est la suivante : si au moins 100 000 signatures sont réunies, le sujet doit être débattu au Parlement national. Cependant, comme les déclarations de soutien déjà recueillies durant la phase d'introduction sont également prises en compte dans le décompte final des signatures, une participation aussi large que possible dès le début est plus qu'utile.
- Des cyclistes comme facteur de tourisme et économique, en passant par les aspects de santé et de politique environnementale jusqu'aux agendas sociaux : Simon étaye son initiative citoyenne avec des arguments variés et diversifiés.Des cyclistes comme facteur de tourisme et économique, en passant par les aspects de santé et de politique environnementale jusqu'aux agendas sociaux : Simon étaye son initiative citoyenne avec des arguments variés et diversifiés.
Une fois de plus !
D'autant plus que les initiatives populaires n'ont pas de caractère juridiquement contraignant. Leur mise en œuvre dépend des députés, ainsi que des résultats de leurs délibérations, débats et éventuellement discussions avec des experts.
Bien sûr : plus une préoccupation particulière bénéficie d'un large soutien au sein de la population, moins elle sera simplement approuvée en commission ou en séance plénière du Conseil national. En ce sens, Simon espère bien plus que les 100 000 signatures finalement nécessaires, afin que le sujet ne soit pas simplement balayé sous le tapis politique.
Ce genre de situation, le sexagénaire l’a déjà vécue. En 2007, il avait lancé une initiative citoyenne parlementaire pour l'ouverture du réseau national de chemins forestiers et de routes d'exploitation, et n'avait épargné aucun effort ni recherche préalable : il avait sollicité des déclarations de toutes les parties pour évaluer les chances d'un traitement favorable de sa demande au Parlement ; rassemblé des informations de fond et des faits, qu’il avait listés sous forme d'arguments vérifiables ; s'était familiarisé avec la situation juridique générale sur le thème de la participation citoyenne et spécifique au sujet du VTT ; exploré le RIS (Système d'information juridique de la Chancellerie fédérale) à la recherche de jugements de la Cour suprême et de précédents ; et, enfin, créé un site internet où tous les documents pertinents, y compris les listes de signatures, étaient disponibles en téléchargement.
21 000 signatures avaient alors été récoltées – encore en format papier, collectées auprès des amis et de la famille, grâce aux organisateurs de courses, aux magasins de vélos, aux clubs, etc., et transmises par la poste. Le résultat ? Des reports, jusqu'à la fin de la législature noir-rouge.
Pourquoi est-ce que je réessaie maintenant ? Parce que rien n'a changé
Gerald Simon, initiateur d'une initiative citoyenne parlementaire en 2007 et d'une pétition populaire en 2025Ce qui, outre l'initiative elle-même, frappait déjà il y a 18 ans : avec le conseiller en patrimoine et courtier en assurances résidant à Hernstein, ce n’est pas seulement un vététiste de la première heure qui s’engageait – pratiquant son sport adoré depuis les années 1980, en grande partie illégalement par nécessité. Ce père de famille, collectionneur de fossiles, pompier, skieur et grimpeur, est également un forestier de formation, et en tant que tel, il connaît parfaitement la forêt et les besoins de sa flore et de sa faune.
En 2025, Simon se remet à l’ouvrage avec la même minutie et la même volonté de dialoguer, mais avec des méthodes actualisées. Parce que, comme ce politologue diplômé le souligne à plusieurs reprises sur sa chaîne YouTube spécialement créée, rien n’a encore changé – bien au contraire : en comparaison européenne, les restrictions actuelles paraissent plus obsolètes que jamais, ce qui, compte tenu de l’importance croissante du VTT en tant que sport de loisir et de masse dans un pays touristique, est plus que désavantageux. Sans même parler des aspects liés à la santé, à l’environnement, aux politiques de transport ou à d’autres considérations économiques (un aperçu de ses arguments est disponible dans le texte d’accompagnement du référendum à partir de la page 3).
- En fait, les contributions et les réponses aux interviews de Simon de l'époque sont toujours aussi actuelles. Voici des extraits d'un article de la revue Mountainbike de mars 2007.En fait, les contributions et les réponses aux interviews de Simon de l'époque sont toujours aussi actuelles. Voici des extraits d'un article de la revue Mountainbike de mars 2007.
Non des moindres, c'est pourquoi un changement de loi serait des plus appropriés. „Il faut enfin adapter la loi forestière pour que l'effet récréatif de la forêt soit accordé aux vététistes dans la même mesure qu'aux randonneurs ou aux skieurs de randonnée“, insiste-t-il notamment sur le fait qu'une loi de 1975 ne peut guère concerner explicitement un équipement sportif apparu seulement dix ans plus tard.
Pour cette mission, Simon a cette fois institutionnalisé son engagement de manière numérique. Sur sa chaîne Youtube, il prévoit d'être disponible pour des discussions au cours des 1,5 prochaines années, de publier des arguments pour et contre, de mener des interviews et des débats, de partager des connaissances sur les thèmes du VTT (vélo tout-terrain) et de la nature, et bien sûr, de faire connaître son initiative citoyenne et de solliciter du soutien pour celle-ci.